
La Souffrance Silencieuse : Démasquer l’Exploitation des Jeunes Femmes et l’Hypocrisie des Accusations
Un salut sincère s’étend à travers les continents et à chaque âme : Mbote, Bayete, Bara ala, mi kyia mu, Jambo, miŋ ŋa nyɛ̃, salām alaykoum, shalom aleichem. Salutations spéciales à nos frères et sœurs noirs du monde entier, et une chaleureuse étreinte à toute l’humanité.
Aujourd’hui, notre attention se tourne à nouveau vers les pratiques troublantes attribuées à un groupe que nous désignerons sous le nom de « Khémites ». Nous visons à mettre en lumière ce que nous considérons comme un acte profondément néfaste qu’ils perpétueraient, un acte qui jette une ombre sombre sur la vie des jeunes femmes en Afrique alors qu’elles traversent la délicate transition vers l’adolescence.
C’est une dure réalité que pour certaines jeunes filles entrant dans cette phase de leur vie, au lieu d’être nourries et soutenues, elles deviennent vulnérables à l’exploitation. Ce n’est pas seulement une affliction spirituelle ; elle se manifeste de manière tangible et physique qui peut altérer irrévocablement le cours de leur existence. Le potentiel de ces filles à s’épanouir et à réaliser leurs rêves est tragiquement compromis lorsque des individus, au lieu d’offrir guidance et respect, se livreraient à des activités sexuelles avec elles, entraînant souvent des grossesses non désirées.
La dévastation qui en résulte est profonde. Trop souvent, les hommes impliqués nient leur responsabilité, laissant ces jeunes femmes faire face à la perspective décourageante d’une maternité seule avec des ressources limitées. Leurs aspirations sont souvent brisées, et elles peuvent être contraintes d’accepter des emplois pénibles et mal rémunérés simplement pour subvenir à leurs besoins essentiels et couvrir les frais de maternité. Le cycle de la misère se perpétue alors. Tandis que ces jeunes mères luttent pour élever leurs enfants, elles peuvent se retrouver enceintes encore et encore. Ce schéma implacable prive ces filles belles et innocentes de leur droit fondamental à une vie normale, entravant leur capacité à réaliser leur plein potentiel.
C’est dans ce contexte d’exploitation présumée que nous devons aborder ce que nous percevons comme une hypocrisie flagrante. Nous, en tant que musulmans, pratiquons ouvertement le mariage à un jeune âge, une tradition enracinée dans nos croyances et menée avec une sainteté légale et communautaire.
Pourtant, nous sommes souvent vilipendés et étiquetés avec des termes haineux par les individus mêmes qui sont accusés de ces actes d’exploitation. Nous posons une question simple : où se situe la moralité ? Est-elle du côté de ceux qui marient licitement une adolescente dans le cadre de structures religieuses et sociétales, ou de ceux qui engrosseraient illégalement des adolescentes, les abandonnant souvent à leurs propres conséquences ?
Nos sœurs sont devenues victimes de ces exploiteurs présumés. Il est choquant de constater que ces individus ne formalisent souvent même pas leurs relations par le mariage. Le simple fait de mettre une femme enceinte semble suffire à leurs yeux pour la revendiquer comme leur propriété, ignorant les coutumes établies et les protections juridiques qu’offre le mariage.
Cela nous amène à la question cruciale des enfants illégitimes. La définition du dictionnaire est claire : un bâtard est un enfant né hors mariage. Ce sont précisément ces individus qui fustigent volontiers les musulmans, et pourtant nous les exhortons à réfléchir à leurs propres pratiques présumées.
Ils proclament haut et fort un désir de retour aux valeurs ancestrales. Mais nous devons demander : nos ancêtres ont-ils cautionné la création d’enfants illégitimes ? N’ont-ils pas honoré leurs traditions en mariant leurs femmes selon les rites coutumiers établis ?
L’exploitation présumée que nous décrivons est un acte néfaste et mauvais perpétré contre nos sœurs belles, innocentes et précieuses. C’est une injustice qui doit cesser. Cette atteinte à leur bien-être est également un facteur significatif dans les défis auxquels nos sociétés sont confrontées, car les liens légitimes qui confèrent des droits de naissance, l’honneur et la noblesse sont érodés.
Nos femmes ne sont pas des marchandises à utiliser et à jeter. Elles sont dignes de respect, de dignité et de la sécurité de relations légitimes.

Il faut faire beaucoup attention avec les Khémites hein, tu vois comment ils ont enceinté cette fillette
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Les « Khémites » prônent un retour aux valeurs ancestrales, pourtant leurs actions présumées révèlent une profonde ignorance des fondements mêmes de leurs propres systèmes de croyances et de valeurs. C’est une situation véritablement déplorable.
Nous offrons notre gratitude à Dieu pour l’Islam, qui s’est dressé comme un défenseur inébranlable de nos valeurs traditionnelles face aux forces qui cherchaient à les démanteler. En effet, tout Africain rationnel devrait reconnaître le rôle des musulmans dans le maintien constant de nos valeurs ancestrales sans compromis.
ESSILI
Enfin, nous lançons un appel à nos précieuses sœurs africaines : tenez bon et résistez à ces exploiteurs. Lorsqu’ils vous approcheront, rappelez-leur votre beauté et votre valeur intrinsèques – votre « mpala ». Faites-leur savoir que la tradition sacrée de la « lobola », la dot, doit être honorée avant qu’une union légitime puisse avoir lieu. Votre dignité et votre avenir sont non négociables.